NOUVEAUTÉS DE L’AUTOMNE 2021…

Toutes les images présentées ci-dessous, ainsi qu’aux pages Photos 1 à 7 du présent site et toutes celles qui illustrent mes différents albums, sont désormais disponibles (entre autres et notamment) sur papier photo argentique traditionnel. Les posters d’antan imprimés en offset ne sont jamais parvenus à se hisser au niveau du papier argentique sous quelque éclairage que ce soit, notamment en matière de fidélité et de pérennité des couleurs (qui — soit dit en passant, s’agissant des posters — n’échappent enfin ! plus au contrôle de l’auteur, impuissant face à tant d’avanies à lui infligées par l’éditeur-imprimeur…). Les impressions jet d’encre donnent des résultats comparables, parfois même un peu supérieurs à ceux de l’argentique, mais ne sont pas aussi fiables en termes de répétabilité qualitative d’une impression à l’autre, d’une chaîne de production à l’autre. Les formats disponibles s’étagent du plus petit au plus grand, soit 122x240 cm — voire exceptionnellement en première mondiale jusqu’à 5 m ! pour un prix ttc franco de port de 49 (pour un 40x60 cm) à 195 €. Ces prix s’entendent pour la livraison à domicile d’un tirage. Sur option, le tirage peut être présenté sur tous les supports modernes connus, et encadré à la demande. Il existe de multiples formats standard, dont la sélection n’est que facultative (loin des dimensions normalisées des posters industriels, la liberté de choix de l’acheteur est ici totale). Et, dans bien des situations particulières de gestion des espaces disponibles, cela change tout !

D’ailleurs, pour être complet, à l’attention des amateurs s’orientant a priori vers une solution encadrée (à l’incidence financière majeure), il existe une excellente alternative d’impression sur tissu ou sur toile dont la couverture colorimétrique rivalise avec celle des tirages argentiques. Pour en parler : Contact

En vedette, et pour entrer dans le concret — en promotion à 89 € (port et taxes compris) —, la meilleure photo jamais réalisée de cette sublime arrivée à Monument Valley par la route du nord, en provenance de Moab, au format universel 52x150 cm, reprenant la présentation désormais classique initiée de longue date par les éditions Pêcheur d’Images, dont vous êtes nombreux de par le monde à avoir acquis les posters  — notamment les miens — édités à ce format. Présentée ci-dessous en basse définition, cette image, numérisée à… 235 millions de pixels, vous émerveillera au quotidien par la richesse de ses détails dont la magie vous transportera d’émotion à chaque nouvelle contemplation. En option, sans supplément de prix (à équivalence de format), vous pouvez offrir à votre image une marie-louise/passe-partout telle qu’elle apparaît ci-dessous (ainsi qu’en pop-ups dans les pages Photos du site). La couleur de la marie-louise (ici proposée par défaut en gris neutre) peut être à l’infini harmonisée à votre intérieur.

MAIS JE NE VOUS AI PAS ENCORE DIT LE PLUS IMPORTANT :

Les quelques pixels faméliques affichés ci-après ne sauraient à l’évidence vous révéler toute la richesse de détails présents dans les images, notamment celles au format panoramique. Afin d’éclairer vos choix, et surtout mieux vous décider, je vous offre :

 1- De visionner dans votre navigateur les images qui vous intéressent dans une définition suffisante pour mieux en apprécier les qualités (j’ai retenu une définition voisine de la norme 5k). Pour cela, il vous suffit de cliquer une première fois sur l’image, suivie d’une seconde, permettant d’obtenir la pleine résolution. Les modes d’affichage varient selon les navigateurs. Préférez l’ordinateur à la tablette ; Firefox réalise la présentation la plus intelligente. NB : quelques rares images se sont pas traitées.

2- De vous faire parvenir à votre demande une épreuve du tirage définitif. Cette épreuve, fournie à prix réduit par le laboratoire (qui y insère son propre filigrane), constituera pour vous une garantie de conformité à vos attentes.

NB : Les images apparaissant dans les reproductions ci-dessous ne sont que très exceptionnellement recadrées, alors que nombre d’entre elles pourraient aisément l’être eu égard à la très haute définition des documents originaux, et s’avérer ainsi aptes à délivrer un message différent. C’est notamment le cas de la photographie de Monument Valley présentée ci-dessus et ci-dessous. Je vous invite, au cas par cas, à me soumettre vos éventuelles suggestions.

MENTION SPÉCIALE : Certains internautes m’ont interrogé à la recherche de posters que les éditions Pêcheur d’Images de Philip Plisson avaient éditées pour mon compte il y a plus d’une décennie. Je suis probablement en mesure de satisfaire à leur demande de remplacement à l’identique d’une image défraîchie ou autre. Contact

Règlements acceptés : virement IBAN/SEPA et PayPal.

UN MOT ENCORE AU SUJET DU PAPIER

Dans la solution de base, 4 qualités de papier sont proposées : Brillant, Mat, Soyeux (Silk), Velours (Velvet). Le brillant (le plus vendu) est vraiment très brillant ; bien qu’aucune différence de colorimétrie ne le distingue des autres papiers, les couleurs vibrent davantage sous le regard de l’observateur, à la condition expresse que ni lui ni son environnement ne se reflètent en miroir. Le mat lui-même est déjà relativement luisant, et il constitue un bon choix lorsque les conditions d’éclairage ne sont pas totalement maîtrisées. La matité peut être renforcée par une opération de laminage qui se traduit, comme c’est le cas du choix des deux autres qualités de papier, par un coût supplémentaire. Dans le domaine de l’image, comme dans bien d’autres domaines, nous sommes entrés de plain-pied dans l’ère du sur mesure, désormais à tout propos qualifiée de « on demand ».

Gardez à l’esprit que le rendu chromatique d’une image imprimée dépend surtout de la qualité de la lumière qu’on lui adresse dans la mesure où l’image ne fait jamais que renvoyer, après l’avoir modifiée, la lumière qu’elle reçoit. Pour magnifier un coucher de soleil, par exemple, rien ne remplacera jamais une lampe halogène (hélas disparue des rayons) ou un soleil de fin de journée…

Notez enfin qu’aucun procédé de reproduction sur support physique (même le meilleur, même l’argentique) n’est en capacité de reproduire fidèlement toutes les couleurs du spectre, notamment celles que l’on peut encore aisément percevoir sur un écran d’ordinateur ou une tablette, particulièrement les jaunes orangés clairs et le bleu des ciels de densité moyenne ; c’est là un des pires écueils de l’édition d’art photographique. Une image séduisante à l’écran, se heurte fréquemment, véritable drame d’esthète et d’éditeur, au couperet fatal et cruel des  « couleurs non imprimables ».